vendredi 1 mars 2013

Première croisade.

Pour pratiquement tous les blasons, ils ont été corrigés pour s'approcher au plus près de la description
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Premième Croisade - 1096-1099

179 Achard de Bully (vers 1121) (1e Croisade)
Blason de Achard de Bully (vers 1121)Avant son départ pour la Terre-Sainte, Achard de Bully approuva, avec ses frères Hugues et Guillaume, la donation que leur père, Itier, seigneur de Bully, fit à l'abbaye de Savigny de tout ce qu'il possédait entre la Loire et la Saône. Achard mourut à Jérusalem, et, après son décès, cette donation fut ratifiée, en 1121, par son frère Guillaume qui lui survécut.

La famille de Bully avait emprunté son nom au village de Bully en Lyonnais, près de l'Arbresle ; elle s'allia aux de Varennes, dont le fief passa en sa possession au XIVe siècle.
(Cartulaire de Savigny, charte 903)
Les Familles chevaleresques du Lyonnais, Forez et Beaujolais, aux croisades, par M. A. Vachez - De la Société Littéraire, Historique et Archéologique de Lyon, année 1874-1878. Lyon Auguste Brun librairie de la Société Littéraire, 1876.
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125 Adam de Béthune (1e Croisade)
Blason de Adam de BéthuneAdam de Béthune, après la prise de Jérusalem, eut en partage la ville et baronnie de Bessan, dans la Galilée, dont le titre resta à ses descendants. Plusieurs autres membres de la même maison figurèrent aux croisades. Armes: d'azur, à trois bandes d'or. La maison de Béthune, l'une des plus illustres d'Artois, ducale de Sully et de Charost, prit plus tard pour armes: d'argent, à la fasce de gueules.
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1 Adhémar de Monteil (mort en 1098) (1e Croisade)
Blason de Adhémar de Monteil (mort en 1098)Evêque du Puy, légat apostolique, suivit la première croisade et mourut à Antioche en 1098. La maison de Monteil portait: d'or, à trois bandes d'azur.

Clerc d'origine noble, évêque du Puy (1087), pèlerin de Terre sainte, Adhémar de Monteil joua un rôle essentiel dans la préparation de la première croisade, grâce à la connaissance qu'il avait de la situation en Orient. Le pape Urbain II le nomma légat et lui confia la direction de l'entreprise, lui adjoignant comme chef militaire le comte de Toulouse, Raymond de Saint-Gilles, que d'autres initiatives, comme celles de Bohémond ou de Godefroi de Bouillon, privèrent rapidement de sa prééminence. Le légat demeura donc la seule autorité incontestée de la croisade : habile diplomate, Adhémar en profita pour assurer la difficile cohésion des barons. Il mourut lors d'une épidémie, pendant le siège d'Antioche.
Sources : Auteur Charles Gavard - Galeries historiques de Versailles. Armoiries des salles des Croisades - Paris Gavard (avant 1847). Imprimerie Duverger. - Charles Gavard Editeur rue du Marché Saint-Honoré Paris IV

Adhémar de Monteil
Adhémar de Monteil, évêque du Puy-en-Velay, était issu d'une famille distinguée du midi de la France. Il fut le premier à demander, au concile de Clermont, à entrer dans ce qu'on y appela la voie de Dieu, et à recevoir la croix des mains du pape Urbain II. L'évêque d'Orange suivit aussitôt son exemple. Le peuple compara l'évêque du Puy à Aaron, et le comte de Toulouse, avec qui il partit pour la terre sainte, à Moïse.
Le pape, ayant dû refuser de se mettre lui-même à la tête de la croisade, nomma Adhémar son représentant auprès de l'armée. C'était le meilleur choix qui pût être fait.

Les historiens contemporains sont unanimes pour louer l'évêque du Puy de l'usage constamment courageux et charitable qu'il fit de l'influence que lui donnait sa charge, et ils s'accordent à dire qu'il s'attira le respect et la confiance des pèlerins, autant par ses qualités personnelles que par sa position de légal du Saint-Siège.

Ses exemples, ses conseils et ses exhortations contribuèrent puissamment, dans toutes les circonstances à maintenir l'ordre et la discipline dans l'armée des croisés et la concorde entre leurs chefs. Il marcha avec ses vassaux sous la bannière du comte de Toulouse.

Avant son départ, qui eut lieu vers la fin du mois d'octobre de l'année 1096, il composa le chant de guerre de la croisade, où il implorait l'intercession de la Reine des cieux. C'est la prière «  Salve, Regina, etc.  », que l'Église a conservée. Il paraît que ce fut un autre apôtre des croisades, le grand saint Bernard, qui ajouta à l'invocation de l'évêque du Puy l'exclamation finale : «  O clemens, ô pia, ô dulcis Virgo Maria !  »

En traversant les provinces de l'empire grec occupées par les Pincenates, dit Raymond d'Agiles, l'évêque du Puy, s'étant un peu éloigné du camp, tomba entre les mains de ces barbares, qui le renversèrent de sa mule, le frappèrent grièvement à la tête, et le dépouillèrent. «  Mais, ajoute le chroniqueur, parce qu'un si grand pontife était encore nécessaire au peuple de Dieu, il fut sauvé par la miséricorde divine. Tandis qu'un Pincenate lui demandait de l'or, en le défendant contre les attaques des autres, tout à coup un bruit partit du camp, et l'évêque s'échappa pendant qu'on venait à son secours,  »

L'évêque du Puy perdit son étendard dans un combat que livrèrent les chrétiens sous les murs d'Antioche, pour repousser une sortie de la garnison musulmane. Il contribua, par les nobles exhortations qu'il adressa aux pèlerins, et par l'exemple de son courage, au succès de la fameuse bataille remportée par les croisés contre Kerboga, devant cette même ville, comme il avait coopéré à la victoire de Dorylée. Pendant l'épidémie qui, en 1098, enleva plus de cinquante mille guerriers de la croix en un mois, dans Antioche, Adhémar fut le consolateur de toutes les souffrances et de toutes les misères. Mais ses forces trahirent son zèle, et il mourut victime de son ardente charité.

L'armée témoigna, par les pleurs dont elle accompagna ses funérailles, qu'elle sentait la grandeur de la perte qu'elle faisait en restant orpheline de son père spirituel. L'autorité morale, que l'évêque du Puy s'était acquise par ses vertus, lui permettait d'exercer sur ses compagnons de pèlerinage une influence encourageante et conciliante, qui disparut avec lui. Son corps fut inhumé dans l'église de Saint-Pierre d'Antioche, à la place où avait été découverte la sainte Lance.

Les chefs de la croisade, en annonçant au souverain pontife la mort du légat du Saint-Siège, en exprimèrent leurs regrets, et supplièrent le pape de venir lui-même combler, par sa présence, le vide que laissait au milieu d'eux la perte qu'ils venaient de faire. «  Comme toujours quelque chose de triste, disaient-ils après avoir raconté la prise d'Antioche, se mêle aux joies de la terre, l'évêque du Puy, que vous nous aviez donné pour votre vicaire apostolique, est mort après la conquête de la ville, et après une guerre où il avait acquis beaucoup de gloire. Maintenait vos enfants, privés du père que vous leur aviez donné, s'adressent à vous, qui êtes leur père spirituel. Nous vous prions, vous qui avez ouvert la voie que nous suivons, vous qui, par vos discours, nous avez fait quitter nos foyers et ce que nous avions de plus cher dans notre pays, qui nous avez fait prendre la croix pour suivre Jésus-Christ et glorifier son nom, nous vous conjurons d'achever votre ouvrage en venant au milieu de nous, et en amenant avec vous tous ceux que vous pourrez amener. C'est dans la ville d'Antioche que le nom de chrétien a pris son origine ; car, lorsque saint Pierre fut installé dans cette église que nous voyons tous les jours, ceux qui s'appelaient galiléens se nommèrent chrétiens. Qu'y a-t-il de plus juste et de plus convenable que de voir celui qui est le père et le chef de l'Eglise, venir dans cette ville qu'on peut regarder comme la capitale de la chrétienté ? Venez donc nous aider à finir une guerre qui est la vôtre. Nous avons vaincu les Turcs et les païens ; nous ne pouvons de même combattre les hérétiques ; les Grecs, les Arméniens, les Syriens, les Jacobites ; nous vous en conjurons donc, très-saint Père, nous vous en conjurons avec instance, vous qui êtes le père des fidèles, venez au milieu de vos enfants vous oui qui êtes le vicaire de Pierre, venez siéger dans son église ; venez former nos coeurs à la soumission et à l'obéissance ; venez détruire par votre autorité suprême et unique toutes les espèces d'hérésies ; venez nous conduire dans le chemin que vous nous avez tracé, et nous ouvrir les portes de l'une et l'autre Jérusalem ; venez délivrer avec nous le tombeau de Jésus-Christ, et faire prévaloir le nom de chrétien sur tous les autres noms. Si vous vous rendez à nos voeux, si vous arrivez au milieu de nous, tout le monde vous obéira. Que celui qui règne dans tous les siècles vous amène parmi nous, et vous rende sensible à nos prières.  »

La situation des affaires de l'Europe, troublées principalement par l'attitude hostile au Saint-Siège, dans laquelle persévérait l'empereur Henri IV, ne permettait pas à Urbain II de répondre à cet appel des chefs de la croisade.
Sources : Nouvelle Encyclopédie Théologique, dictionnaire sur toutes les parties de la science religieuse. Par L'Abbé Migne, tome XVIII Paris 1852
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124 Aimery, vicomte de Rochechouart (1e Croisade)
Blason de Aimery, vicomte de RochechouartAimery, vicomte de Rochechouart, est cité par le P. Anselme, comme ayant fait le voyage de la Terre-Sainte en 1098. La maison de Rochechouart, aujourd'hui ducale de Mortemart, porte: fascé ondé d'argent et de gueules.
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34 Alain IV duc de Bretagne (1e Croisade)
Blason de Alain IV duc de Bretagnedit Fergent, duc de Bretagne, se croisa en 1096. Ses descendants, dont le dernier rejeton fut Anne de Bretagne, femme de Charles VIII et de Louis XII, ont toujours porté les armes qu'on lui donne ici: d'hermine.
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89 Alexis Ier Comnène (1e Croisade)
Blason de Alexis Ier Comnène(1048-1118), empereur Byzantin (1081-1118) ; habile diplomate, il redressa l'empire Byzantin. Sa première entreprise fut de s'allier aux Vénitiens pour résister aux envahisseurs Normands dirigés en Grèce par Robert Guiscard. En 1091, il défit les Petchenègues, une tribu Turque qui effectuait des incursions dans le nord de l'empire, puis stabilisa la situation à l'est en concluant un traité de paix avec les Turcs Seldjoukides. Il profita de la première croisade, que venait de lancer le pape Urbain II (1095), pour reprendre l'Anatolie occidentale aux Seldjoukides, et exigea un serment d'allégeance de la part des croisés (parmi lesquels Bohémond Ier, le fils de son ancien ennemi Robert Guiscard) mais ne put les empêcher d'établir des états indépendants en Syrie et en Palestine. Une querelle l'opposa à Bohémond au sujet de la souveraineté d'Antioche ; celui-ci finit par reconnaître la suzeraineté d'Alexis en 1108. Sa biographie, l'Alexiade, rédigée par sa fille Anne Comnène, constitue une précieuse source d'informations sur la première croisade, même si l'on y trouve beaucoup de préjugés probyzantins.

Alexis Ier Comnène
Alexis Ier Comnène parvint au trône de Constantinople en 1081, en dépouillant de l'empire Nicéphore Botoniate, dont il commandait les armées. Il a été le provocateur des croisades, en réclamant l'appui du souverain pontife et le secours des princes de l'Occident contre les Turcs. Guibert a conservé, en partie, et la Collection de Martène contient, en entier, la lettre adressée, en cette occasion, par Alexis au compte Robert de Flandre. Lempereur grec y cherche, non-seulement à loucher le coeur du comte de Flandre par la peinture de la misère des chrétienté d'Orient et de la profanation des Lieux Saints, mais il lui fait voir aussi les avantages matériels que devait amener une expédition contre les infidèles, et il lui vante la beauté des femmes grecques. L'authenticité de cette lettre, qui fait honte au caractère d'Alexis, a été révoquée en doute par le savant Heeren. Comme le texte grec n'en existe plus, et qu'on n'en possède que des versions latines, M. Wilken, dans son Histoire allemande des Croisades (Geschichte der Kreuzzuge) soupçonne ces versions de n'être pas exactes. Il est difficile de croire, pense-t-il, qu'un empereur grec se soit servi de ces expressions : «  melius est ut vos habeatis Constantinopolim quam pagani  » (il vaut mieux que Constantinople vous appartienne qu'aux infidèles). Mais cette lettre est reconnue authentique par Ducange, qui est une grande autorité. Parce qu'un document qui émane d'un empereur de cette époque contient des bassesses, ce n'est pas une raison de le tenir pour suspect.

Lorsque Alexis s'était adressé au pape pour appeler l'Occident à son secours, il ne s'attendait pas que les défenseurs de la chrétienté allaient arriver dans son empire par centaines de mille. La multitude innombrable des croisés l'effraya; sa fille, Anne Comnène, ne cesse de la comparer aux étoiles du firmament, aux sables de la mer. Alexis fut aussi très-inquiet de voir figurer, parmi les chefs de la croisade, le fils de Robert Guiscard, l'ambitieux Bohémond, qu'il avait appris précédemment à redouter. «  Il aurait pu, dit M. Michaud, en parlant de l'empereur Alexis, se mettre à la tête de la croisade et reconquérir l'Asie Mineure, en marchant avec les Latins à Jérusalem.  » Mais il était incapable de prendre cette noble résolution, et, suivant l'expression du même historien, «  il crût qu'il suffisait de tromper les croisés pour n'en avoir rien à craindre, et d'en recevoir un vain hommage pour profiter de leurs victoires.  » Nous citons à l'article Etienne, comte de Blois, une lettre de ce seigneur, où l'éloge d'Alexis est fait en termes surprenants, si on les compare au langage plus que sévère des chroniqueurs, lorsqu'ils parlent de la conduite de l'empereur envers es croisés. A la suite du fragment de cette lettre que nous avons traduit, le comte de Blois raconte qu'Alexis avait recueilli des montagnes d'or des dépouilles de Nicée, mais qu'il en avait distribué une grande partie à l'armée latine. Il résulte évidemment du récit du comte qu'une des habiletés d'Alexis a été de le séduire, et on en peut conclure aussi que, sans être aussi vénérable que le représente Etienne, l'empereur n'était peut-être pas aussi méprisable que le peignent tous les chroniqueurs, à l'exception de Foucher de Chartres, sans doute, comme l'observe très-justement M. Michaud, parce que Baudouin, dont Foucher était le chapelain, n'aura pas eu à se plaindre du souverain grec. Un chroniqueur, Bertholde de Constance, résume très-bien la conduite d'Alexis, en disant qu'il ne négligea rien pour arrêter la marche des pèlerins et faire périr la croisade, un autre chroniqueur, Ekkard, qui faisait partie de l'armée des croisés, rapporte dans sa chronique que les pèlerins disaient tous : «  Alexis nous trahit; il regarde les chrétiens qui vont combattre les Turcs, comme des chiens qui mordraient d'autres chiens, «  canes se invicem mordentes.  »

Anne Comnène prétend que les souffrances corporelles dont son père était accablé, provenaient des tourments d'esprit que lui causa le passage des armées des Francs. «  Alexis, dit-elle, était plongé dans un abîme d'inquiétude et de chagrin, quand il considérait cette effrayante multitude, qui surpassait les sables de la mer et les astres du firmament, et lorsqu'il faisait réflexion que si toutes ces troupes, qui étaient dispersées de toutes parts, soit dans les garnisons des villes, ou sur les côtes maritimes, avaient été réunies en un seul corps, il n'aurait pas été capable de leur résister : c'est pourquoi, remettant à un autre temps toutes les autres affaires, il s'appliquait presque uniquement à réfléchir sur les prétentions des Francs et sur les moyens d'arrêter leurs entreprises; il était assis dès le matin sur son trône et leur donnait audience, afin qu'ils pussent en toute liberté lui proposer ce qui leur plaisait : leur impudence naturelle, leur avarice et leur opiniâtreté ne leur permettaient pas d'user de cette liberté avec quelque retenue ; ils parlaient tant qu'ils voulaient sans craindre de blesser le respect dû à l'empereur, d'ennuyer les principaux de sa cour, et de consommer ainsi inutilement une chose aussi précieuse que le temps. Ceux qui ont étudié le caractère des nations savent que les Francs sont de grands parleurs, et qu'ils font de longs discours. Quand la nuit était venue, mon père, qui n'avait pas mangé de tout le jour, se levait de son trône pour se mettre à table; mais il n'était pas pour cela délivré de l'importunité des Francs; au contraire, il était accablé de la foule de ceux qui n'avaient pas eu audience, ou de ceux qui, l'ayant déjà eue, venaient lui faire quelques nouvelles demandes.  »

La fille d'Alexis tâche aussi de justifier son père de n'avoir pas secouru les croisés à Antioche : «  L'empereur s'avança au secours des Latins assiégés ; il alla jusqu'à Philomèlie, s'emparant, sur son passage, de plusieurs villes qui étaient au pouvoir des infidèles. Là arrivèrent dans le camp Guillaume de Grandmesnil et le comte Etienne, qui s'étaient sauvés d'Antioche en descendant par une corde. Ils racontèrent à l'empereur l'état désespéré auquel se trouvait réduite l'armée des croisés, renfermée dans cette ville. Malgré les avis prudents de ses conseillers, César se disposait néanmoins à marcher vers la ville assiégée, pour secourir les chrétiens, lorsqu'on apprit que le sultan du Khorassan avait envahi le territoire de l'empire ; alors, au sein du conseil impérial, s'éleva une opposition unanime contre la volonté d'Alexis. Pourquoi tenter de secourir des hommes tout à fait perdus ? Comment exposer les défenseurs de l'empire et l'empire lui-même, pour des alliés si peu dignes de la bienveillance d'Alexis ?  »

Cet empereur mourut le 15 août 1118; il était âgé d'environ soixante-dix ans, et il avait régné trente-sept ans et près de cinq mois. Il laissait deux fils et deux filles : Jean, l'aîné de ses fils, fut son successeur, et le second, Isaac Comnène, fut la tige des empereurs de Trébizonde. Sa fille Anne, mariée au fils de l'empereur Nicéphore Bryenne, a écrit la vie de son père, et Théodora, son autre fille, épousa Constantin l'Ange, qui est la souche des empereurs de ce nom.

Selon l'Art de vérifier les dates, il paraît qu'Alexis fut toujours en communion avec l'Eglise romaine.
Sources : Nouvelle Encyclopédie Théologique, dictionnaire sur toutes les parties de la science religieuse. Par L'Abbé Migne, tome XVIII Paris 1852
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102 Amanieu sire d'Albret (1e Croisade)
Blason de Amanieu sire d'AlbretAmanieu sire d'Albret, pénétra un des premiers dans la ville de Jérusalem. Il portait: de gueules plein.
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143 Anselme de Ribaumont (1e Croisade)
Blason de Anselme de RibaumontAnselme de Ribaumont, seigneur picard, est cité avec éloge par Albert d'Aix, Guibert de Nogent et Raoul de Caen. Il fut tué au siège d'Archas. Armes, selon le P. Goussencourt: de gueules, fretté d'or, au canton d'or chargé d'un léopard de sable.
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Sources les commanderies des Templiers de France et de Belgique.
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