(pagano-chrétiens) (judéo-chrétiens)
je ne suis pas pagano-chrétien ni judéo-chrétien
mais je suis de l'ancienne tradition indo-européen ou "Aryenne"
la France n'est pas (judéo-chrétiens) mais (pagano-chrétienne)
et je refuse le terme païens qui me fut donné par les voleurs et les destructeurs
des âmes de nos père.
En clair : les pagano-chrétiens estiment que les païens peuvent devenir chrétiens sans avoir à adopter le particularisme juif (la circoncision notamment), les judéo-chrétiens refusent ces conversions, car ils ne veulent pas risquer de dissocier le christianisme de sa matrice juive (ce qui s’est effectivement produit).
Si les pagano-chrétiens sont devenus les chrétiens, les judéo-chrétiens sont devenus… les musulmans.
L’expansion du Christianisme s’organise autour de deux pôles: les prédicateurs itinérants et les groupes de sympathisants sédentaires que les premiers laissent après leur passage. Peu à peu se constituent des communautés locales qui prennent le nom d’Église (ecclesia, «assemblée convoquée», une institution typique de la cité grecque). Le terme va prendre une double signification: celle du groupe de croyants qui se rassemblent en un lieu donné, et celle de l’ensemble des croyants qui, dans leur totalité, constituent l’ Église du Christ . Ne possédant pas de bâtiment propre, les Églises réunissent dans des maisons particulières des gens d’origine sociale très variée (esclaves, hommes libres, classes montantes, petit peuple), à l’image des groupes qui entouraient Jésus en Palestine.
Ces communautés sont le plus souvent composées de chrétiens d’origine païenne (pagano-chrétiens) et de chrétiens d’origine juive (judéo-chrétiens) ou provenant de cercles proches. Cette disparité ne tarde pas à créer des problèmes: les chrétiens d’origine juive, attachés à leur identité et à leur appartenance au peuple choisi par Dieu, sont réticents à prendre les repas, en particulier l’eucharistie (le partage du pain et du vin, par lequel se constitue la communion des croyants et leur lien avec Dieu) en commun avec les chrétiens d’origine païenne, qui ignorent leurs préceptes alimentaires. Très tôt se pose la question de savoir s’il faut passer par le judaïsme pour pouvoir bénéficier de l’Évangile du Christ Jésus, s’il faut s’intégrer d’abord au peuple de Dieu par la marque d’appartenance de la circoncision et la pratique des réglementations juives pour bénéficier de la grâce (pardon gratuit) de Dieu. La conviction de l’apôtre Paul, le principal artisan de l’ouverture sans condition de l’Évangile aux païens, l’a emporté, non sans avoir entraîné des débats et des conflits.
je ne suis pas pagano-chrétien ni judéo-chrétien
mais je suis de l'ancienne tradition indo-européen ou "Aryenne"
la France n'est pas (judéo-chrétiens) mais (pagano-chrétienne)
et je refuse le terme païens qui me fut donné par les voleurs et les destructeurs
des âmes de nos père.
En clair : les pagano-chrétiens estiment que les païens peuvent devenir chrétiens sans avoir à adopter le particularisme juif (la circoncision notamment), les judéo-chrétiens refusent ces conversions, car ils ne veulent pas risquer de dissocier le christianisme de sa matrice juive (ce qui s’est effectivement produit).
Si les pagano-chrétiens sont devenus les chrétiens, les judéo-chrétiens sont devenus… les musulmans.
L’expansion du Christianisme s’organise autour de deux pôles: les prédicateurs itinérants et les groupes de sympathisants sédentaires que les premiers laissent après leur passage. Peu à peu se constituent des communautés locales qui prennent le nom d’Église (ecclesia, «assemblée convoquée», une institution typique de la cité grecque). Le terme va prendre une double signification: celle du groupe de croyants qui se rassemblent en un lieu donné, et celle de l’ensemble des croyants qui, dans leur totalité, constituent l’ Église du Christ . Ne possédant pas de bâtiment propre, les Églises réunissent dans des maisons particulières des gens d’origine sociale très variée (esclaves, hommes libres, classes montantes, petit peuple), à l’image des groupes qui entouraient Jésus en Palestine.
Ces communautés sont le plus souvent composées de chrétiens d’origine païenne (pagano-chrétiens) et de chrétiens d’origine juive (judéo-chrétiens) ou provenant de cercles proches. Cette disparité ne tarde pas à créer des problèmes: les chrétiens d’origine juive, attachés à leur identité et à leur appartenance au peuple choisi par Dieu, sont réticents à prendre les repas, en particulier l’eucharistie (le partage du pain et du vin, par lequel se constitue la communion des croyants et leur lien avec Dieu) en commun avec les chrétiens d’origine païenne, qui ignorent leurs préceptes alimentaires. Très tôt se pose la question de savoir s’il faut passer par le judaïsme pour pouvoir bénéficier de l’Évangile du Christ Jésus, s’il faut s’intégrer d’abord au peuple de Dieu par la marque d’appartenance de la circoncision et la pratique des réglementations juives pour bénéficier de la grâce (pardon gratuit) de Dieu. La conviction de l’apôtre Paul, le principal artisan de l’ouverture sans condition de l’Évangile aux païens, l’a emporté, non sans avoir entraîné des débats et des conflits.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire