Yggdrasill, le frêne cosmique
Les Nornes et le Destin
Au centre de l’Univers trône le frêne Yggdrasill, axe structurel, protégeant les neuf mondes.
« Ce frêne est le plus grand et le meilleur de tous les arbres. Ses branches s’étendent audessus de tous les mondes et atteignent au-delà du ciel. Il y a trois racines qui le maintiennent droit, l’une est chez les Ases (première grande famille des dieux), une chez les Thurses (géants) du givre là où était le Ginnungagap autrefois, la troisième se trouve au-dessus de la source Hvergelmir, et recouvre Niflheim »
(Gylfaginning, chap. 15).
Sous une racine se trouve aussi la source de la Science et de la Sagesse, Mimisbrunn, protégée par le géant Mimir, le sage. Une autre source nommée Urd, la source du Savoir, est abritée par le frêne ; près de cette source, trois vierges, appelées Nornes, façonnent à tous les instants la vie des hommes.
Urd (passé),
Verdandi (présent)
Skuld (avenir).
Elles décident sans appel du sort des hommes et, et des dieux aussi. Dès la naissance, elles règlent le cours de toute vie.
On ne peut survivre d’un soir A la sentence des Nornes.
Hamdismal, strophe 30 [3]
Les Nornes et le Destin
Au centre de l’Univers trône le frêne Yggdrasill, axe structurel, protégeant les neuf mondes.
« Ce frêne est le plus grand et le meilleur de tous les arbres. Ses branches s’étendent audessus de tous les mondes et atteignent au-delà du ciel. Il y a trois racines qui le maintiennent droit, l’une est chez les Ases (première grande famille des dieux), une chez les Thurses (géants) du givre là où était le Ginnungagap autrefois, la troisième se trouve au-dessus de la source Hvergelmir, et recouvre Niflheim »
(Gylfaginning, chap. 15).
Sous une racine se trouve aussi la source de la Science et de la Sagesse, Mimisbrunn, protégée par le géant Mimir, le sage. Une autre source nommée Urd, la source du Savoir, est abritée par le frêne ; près de cette source, trois vierges, appelées Nornes, façonnent à tous les instants la vie des hommes.
Urd (passé),
Verdandi (présent)
Skuld (avenir).
Elles décident sans appel du sort des hommes et, et des dieux aussi. Dès la naissance, elles règlent le cours de toute vie.
On ne peut survivre d’un soir A la sentence des Nornes.
Hamdismal, strophe 30 [3]
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