L'appel à la Première croisade
En 1074, l'empereur de Byzance, Michel VII Doukas, fit appel au pape
pour que les chrétiens d'Occident viennet au secours de ceux d'Orient.
Quelque ving années passèrent avant la réponse pontificale.
Enttre-temps, les Occidentaux apprirent le sort malheureux de nombres de
pèlerins - par exemple ceux qui en 1065, s'etaient engagés aux côtés de
Gunther, évêque de Bamberg, massacrés jusqu'au dernier par les Turcs
musulmans.
Dès lors, tout pèlerinage se révélait impossible, simon les armes à la main.
En 1095, lors du concile de Clermont, le pape Urbain II appela les
chrétiens à la reconquête de la Ville sainte. Son appel ne trouva aucun
écho officiel, ni chez l'empereur, ni chez le roi de France, mais de
nombreux seigneurs, individuellement, décidérent de prendre la route le
15 août 1096.
Aussi bien les Flamands de Godefroi de Bouillon, les
Français de Hugues de Vermandois, frère de Philippe Ier roi de France,
les Normands de Sicile de Bohémond et de Tancrède. Une multitude de
petites gens emmenés par Pierre l'Ermite les avaient d'ailleurs
précédés, par groupes informels, sans encadrement, mais formant une
véritable marée humaine.
Après trois années de route poursuivie
séparément à travers l'Europe centrale, les barons Godefroi de
Bouillon, Robert de Flandre, Raymond de Saint-Gilles avec douze mille
hommes, selon des estimations possibles, parvinrent sous les murs de
Jérusalem, qu'ils prirent le 15 juillet 1099 à la stupeur de monde
connu, prise suivie d'un massacre de la population...
L'appel à la Première croisade
En 1074, l'empereur de Byzance, Michel VII Doukas, fit appel au pape pour que les chrétiens d'Occident viennet au secours de ceux d'Orient. Quelque ving années passèrent avant la réponse pontificale. Enttre-temps, les Occidentaux apprirent le sort malheureux de nombres de pèlerins - par exemple ceux qui en 1065, s'etaient engagés aux côtés de Gunther, évêque de Bamberg, massacrés jusqu'au dernier par les Turcs musulmans.
Dès lors, tout pèlerinage se révélait impossible, simon les armes à la main.
En 1095, lors du concile de Clermont, le pape Urbain II appela les chrétiens à la reconquête de la Ville sainte. Son appel ne trouva aucun écho officiel, ni chez l'empereur, ni chez le roi de France, mais de nombreux seigneurs, individuellement, décidérent de prendre la route le 15 août 1096.
Aussi bien les Flamands de Godefroi de Bouillon, les Français de Hugues de Vermandois, frère de Philippe Ier roi de France, les Normands de Sicile de Bohémond et de Tancrède. Une multitude de petites gens emmenés par Pierre l'Ermite les avaient d'ailleurs précédés, par groupes informels, sans encadrement, mais formant une véritable marée humaine.
Après trois années de route poursuivie séparément à travers l'Europe centrale, les barons Godefroi de Bouillon, Robert de Flandre, Raymond de Saint-Gilles avec douze mille hommes, selon des estimations possibles, parvinrent sous les murs de Jérusalem, qu'ils prirent le 15 juillet 1099 à la stupeur de monde connu, prise suivie d'un massacre de la population...
En 1074, l'empereur de Byzance, Michel VII Doukas, fit appel au pape pour que les chrétiens d'Occident viennet au secours de ceux d'Orient. Quelque ving années passèrent avant la réponse pontificale. Enttre-temps, les Occidentaux apprirent le sort malheureux de nombres de pèlerins - par exemple ceux qui en 1065, s'etaient engagés aux côtés de Gunther, évêque de Bamberg, massacrés jusqu'au dernier par les Turcs musulmans.
Dès lors, tout pèlerinage se révélait impossible, simon les armes à la main.
En 1095, lors du concile de Clermont, le pape Urbain II appela les chrétiens à la reconquête de la Ville sainte. Son appel ne trouva aucun écho officiel, ni chez l'empereur, ni chez le roi de France, mais de nombreux seigneurs, individuellement, décidérent de prendre la route le 15 août 1096.
Aussi bien les Flamands de Godefroi de Bouillon, les Français de Hugues de Vermandois, frère de Philippe Ier roi de France, les Normands de Sicile de Bohémond et de Tancrède. Une multitude de petites gens emmenés par Pierre l'Ermite les avaient d'ailleurs précédés, par groupes informels, sans encadrement, mais formant une véritable marée humaine.
Après trois années de route poursuivie séparément à travers l'Europe centrale, les barons Godefroi de Bouillon, Robert de Flandre, Raymond de Saint-Gilles avec douze mille hommes, selon des estimations possibles, parvinrent sous les murs de Jérusalem, qu'ils prirent le 15 juillet 1099 à la stupeur de monde connu, prise suivie d'un massacre de la population...
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