DANS L’OMBRE DES TEMPLIERS
Qu'il me soit permis au seuil de cette page, de rendre un brillant
hommage aux Templiers et aux Hospitaliers qui s'installèrent au Col
Saint-Jean, afin de protéger la vallée de Seyne et les pays riverains de
l'Ubaye contre les pillards et les coupe-jarrets dans le but d'assurer
le libre passage des voyageurs.
Voilà de nombreuses années que je viens dans les Alpes de
Haute-Provence, poursuivre une quête, celle de retrouver l'histoire de
ces moines guerriers qui vécurent dans la Vallée de la Blanche, sur l'un
des sites les plus remarquables de cette région alpestre.
*
Parfois, le temps ne se prêtait guère pour emprunter l'un des
innombrables sentiers de randonnée que compte la Vallée, car
soudainement, un épais brouillard pouvait envahir toute la région. Il
faut savoir que certains chemins étaient déjà là, bien avant que ne
viennent ces religieux. Aimer les parcourir, c'est apprendre à mieux
connaître leurs tracés, ce qui peut conforter notre jugement dans nos
recherches.
Combien de fois, me suis-je rendu jusqu'à la
chapelle romane de Saint-Léger pour y retrouver la sérénité et y
rencontrer mes amis de l'ombre. Après avoir dépassé le petit hameau du
même nom, je commençais à gravir le large chemin empierré qui allait me
conduire devant l'entrée de ce très bel oratoire érigé sur la pointe
d'un mamelon.
Ce jour là, tournant la clef dans la serrure,
j'ouvris la porte laissant découvrir l'intérieur de la chapelle.
M'approchant de l'autel, je distinguais huit croix de Malte peintes sur
les murs de l'édifice. ©
DANS L’OMBRE DES TEMPLIERS
Qu'il me soit permis au seuil de cette page, de rendre un brillant hommage aux Templiers et aux Hospitaliers qui s'installèrent au Col Saint-Jean, afin de protéger la vallée de Seyne et les pays riverains de l'Ubaye contre les pillards et les coupe-jarrets dans le but d'assurer le libre passage des voyageurs.
Voilà de nombreuses années que je viens dans les Alpes de Haute-Provence, poursuivre une quête, celle de retrouver l'histoire de ces moines guerriers qui vécurent dans la Vallée de la Blanche, sur l'un des sites les plus remarquables de cette région alpestre.
*
Parfois, le temps ne se prêtait guère pour emprunter l'un des innombrables sentiers de randonnée que compte la Vallée, car soudainement, un épais brouillard pouvait envahir toute la région. Il faut savoir que certains chemins étaient déjà là, bien avant que ne viennent ces religieux. Aimer les parcourir, c'est apprendre à mieux connaître leurs tracés, ce qui peut conforter notre jugement dans nos recherches.
Combien de fois, me suis-je rendu jusqu'à la chapelle romane de Saint-Léger pour y retrouver la sérénité et y rencontrer mes amis de l'ombre. Après avoir dépassé le petit hameau du même nom, je commençais à gravir le large chemin empierré qui allait me conduire devant l'entrée de ce très bel oratoire érigé sur la pointe d'un mamelon.
Ce jour là, tournant la clef dans la serrure, j'ouvris la porte laissant découvrir l'intérieur de la chapelle. M'approchant de l'autel, je distinguais huit croix de Malte peintes sur les murs de l'édifice. ©
Qu'il me soit permis au seuil de cette page, de rendre un brillant hommage aux Templiers et aux Hospitaliers qui s'installèrent au Col Saint-Jean, afin de protéger la vallée de Seyne et les pays riverains de l'Ubaye contre les pillards et les coupe-jarrets dans le but d'assurer le libre passage des voyageurs.
Voilà de nombreuses années que je viens dans les Alpes de Haute-Provence, poursuivre une quête, celle de retrouver l'histoire de ces moines guerriers qui vécurent dans la Vallée de la Blanche, sur l'un des sites les plus remarquables de cette région alpestre.
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Parfois, le temps ne se prêtait guère pour emprunter l'un des innombrables sentiers de randonnée que compte la Vallée, car soudainement, un épais brouillard pouvait envahir toute la région. Il faut savoir que certains chemins étaient déjà là, bien avant que ne viennent ces religieux. Aimer les parcourir, c'est apprendre à mieux connaître leurs tracés, ce qui peut conforter notre jugement dans nos recherches.
Combien de fois, me suis-je rendu jusqu'à la chapelle romane de Saint-Léger pour y retrouver la sérénité et y rencontrer mes amis de l'ombre. Après avoir dépassé le petit hameau du même nom, je commençais à gravir le large chemin empierré qui allait me conduire devant l'entrée de ce très bel oratoire érigé sur la pointe d'un mamelon.
Ce jour là, tournant la clef dans la serrure, j'ouvris la porte laissant découvrir l'intérieur de la chapelle. M'approchant de l'autel, je distinguais huit croix de Malte peintes sur les murs de l'édifice. ©
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