Religieux
réguliers, les Chevaliers Templiers entonnaient de nombreux chants afin
d'atteindre l'extase mystique, mais aussi de s'adresser des missives
comprises des seuls initiés.
Par ce moyen, les pieux Chevaliers et
noirs chapelains invoquaient le nom divin ne devant être prononcé,
chapelet magique constitué des lettres hébraïques "iod+hé+vau+hé"
formant le I.E.V.E.
A l'instar du gai rossignol, chantre de l'amour,
sifflant la nuit durant au faîte de son arbre, loin des serpents qu'il
abhorre, le chant des Templiers résonnait pour l'amour de Dieu et la
rémission des péchés : Le bien et le juste contre le mal représenté par
le serpent du jardin d'Eden.
Ce cérémoniel, véritable langage crypté
connu des seuls initiés du Temple, mêlait sévérité, tristesse et gaîté.
Il visait également la réalisation de la symbiose avec l'unité divine,
entité indivisible, constituant par la sainte trinité l'éternel mystère
de la foi.
Poétiques et rythmés, les vers bellement tournés étaient,
sous leur aspect anodin, de véritables formules cabalistiques dont la
numération formait la clef. Entonnés de concert, ils visaient à
provoquer l'extase mystique métaphoriquement désincarnante, en reliant
le terrestre au céleste, l'être au néant, le visible à l'invisible.
Leur chant avait pour vocation de transcender l'infinie spirale de la
création, afin d'atteindre sa source : Le coeur flamboyant.
Par ce moyen, les pieux Chevaliers et noirs chapelains invoquaient le nom divin ne devant être prononcé, chapelet magique constitué des lettres hébraïques "iod+hé+vau+hé" formant le I.E.V.E.
A l'instar du gai rossignol, chantre de l'amour, sifflant la nuit durant au faîte de son arbre, loin des serpents qu'il abhorre, le chant des Templiers résonnait pour l'amour de Dieu et la rémission des péchés : Le bien et le juste contre le mal représenté par le serpent du jardin d'Eden.
Ce cérémoniel, véritable langage crypté connu des seuls initiés du Temple, mêlait sévérité, tristesse et gaîté. Il visait également la réalisation de la symbiose avec l'unité divine, entité indivisible, constituant par la sainte trinité l'éternel mystère de la foi.
Poétiques et rythmés, les vers bellement tournés étaient, sous leur aspect anodin, de véritables formules cabalistiques dont la numération formait la clef. Entonnés de concert, ils visaient à provoquer l'extase mystique métaphoriquement désincarnante, en reliant le terrestre au céleste, l'être au néant, le visible à l'invisible.
Leur chant avait pour vocation de transcender l'infinie spirale de la création, afin d'atteindre sa source : Le coeur flamboyant.
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